Pics Foudroyés, le 12 ème jour du 7 ème mois de l'an 38
Type : Voyage
Objectif : Atteindre les archives d'Ulduar
Participants : Avant-Garde
Déroulement de la mission :
L'expédition a grandement diminuée en nombre, nous sommes moins de la moitié a avoir survécu au périple jusqu'à Valkyrion. Suite aux informations données par Engeldis et Burdon, nous avons pris la direction d'Ulduar, suivant les indications du nain pour ne pas nous perdre des les montagnes enneigées. Le froid devient insupportable, je ne sens plus mes pieds.

Aujourd'hui, nous avons mangé nos dernières rations. Nous n'avons plus rien, la chasse va être notre dernier recours jusqu'à retrouver les côtes sud du Norfendre, la mer est infestée de krakens au nord, aucun navire ne viendra nous chercher ici. La plupart des bêtes des Pics Foudroyées sont énormes : des mammouths, des rhinocéros et j'en passe. Nous n'avons plus beaucoup de carreaux, il sera difficile d'en abattre un pour manger.

Au bout d'un jour de route, nous avons atteint les archives d'Ulduar et avons été accueillis par une sorte de sphère volante luminescente qui parlait, et un gnome de fer qui gérait visiblement les archives. Il n'y avait ni bibliothèques ni livres dans les archives, juste un énorme bloc de métal et toute une séries de sphères brillantes. Le gnome de fer a réglé la machine qui devait nous donner les plans de l'arme, la Plaie d'Helya, un arc capable de tuer les val'kyrs aisément.

Engeldis et Burdon ont manipulés la machine, ils ont trouvés le plan et Engeldis a fait en sorte que la boite de métal nous donne deux plans sur parchemin pour la fabrication de l'arme. Les choses ont dégénérées. Burdon devait être mort depuis longtemps, c'est le damné sorcier qui avait tué son groupe qui a usurpé sa forme avec son infâme magie. Le sorcier n'était pas humain, trop grand, il cachait son visage sous un voile, et son corps dans une épaisse robe noire. Je crois qu'il s'agissait de l'archimage Ferelder, il correspond à la description des rapports. Il n'est donc pas mort.

Il a tué l'un de mes hommes, et absorbé le savoir des archives avant de partir par un portail. Nous sommes tombés inconscients après le combat, a notre réveil, il faisait nuit et un blizzard faisait rage dehors. Les premiers hommes à être sortis ont vus une nécropole dans le ciel.

J'entends mes hommes gémir. Certains pleurent, d'autres murmurent dans leur sommeil. Je ne dormirais pas ce soir.

La Lumière sauve nos âmes.